D’habitude, j’aime trop ce qui est décrit pour avoir le blues. Cependant, j’ai lu le poème hier, dans les mêmes circonstances atmosphériques, au moment où des tronçonneuses s’attaquaient à leur dixième arbre, abattu en pleine montée de sève pour laisser place à une nouvelle route. Ce poème a rejoint mon propre blues avant de me réconforter.
Merci !
D’habitude, j’aime trop ce qui est décrit pour avoir le blues. Cependant, j’ai lu le poème hier, dans les mêmes circonstances atmosphériques, au moment où des tronçonneuses s’attaquaient à leur dixième arbre, abattu en pleine montée de sève pour laisser place à une nouvelle route. Ce poème a rejoint mon propre blues avant de me réconforter.
Merci !
Heureux que ces haïku aient pu te réconforter. Pour ma part, ça m’avait fait du bien de les écrire.
L’animal, le végétal et l’humain, chacun dans son « blues haïku »
Tes lectures sont toujours un éclairage nouveau. Merci Éclaircie.
Ici, là et là, les idées brumeuses serpentent en nos chemins creux…
Et trois Haïku pour s’en dévêtir.
J’aime.
L’écriture est là pour ça; la lecture aussi quand ça marche bien.