Te voici empaqueté
Depuis la tête à l’envers
Quand tu sortais à l’air
Éventé
Braillant aux barrières
De ton lit cage
Poings serrés sans virgule
A poser
Depuis les chants noirs
N’ouvrent pas davantage
Le rideau derrière lequel
Ricane ta liberté…
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disposer de son corps, avoir un toit, manger à sa faim, avoir des vêtements, pouvoir dire où l’on a mal, ouvrir ou fermer une porte, entrer ou sortir ou s’exprimer ou changer d’avis, montrer à quelqu’un combien on l’aime, aider la personne qui est tombée à se relever, pouvoir s’abstenir de tout mal
un corps en chute libre, des êtres qui ont le pouvoir de contempler les choses telles qu’elles sont, des gens qui ont ce goût aigu de l’air lorsqu’ils renaissent, le bruit d’une écorce arrachée à l’impossible, la fin d’une aliénation, la gifle de la lumière lorsque tu m’ouvres la porte
Et ma fuite
et l’illusion
qui poursuit sa course quelque part
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Accueille la liberté et son aile cassée, offre-lui le gîte sous le couvert des arbres, près du ruisseau. Tu la verras, guérie, voler plus loin, plus haut que tes yeux ne te portent.
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On joue ?
A chat perché ?!
Et si
On volait …
Oh oui !!!
C’est comme ça
Que ça me plait
Et si
On vivait
En dehors
De ce monde
Tout en chiffes et en codes
Et si
On respirait
A être autrement
Enfin décousu de tout
En faim de Nature
Auprès de mon Arbre
En Liberté
Si simplement
Par ordre d’apparition dans cette Liberté retrouvée malgré les confinements, j’ai nommé :
Phoenixs
Pascal
Eclaircie
Marjolaine
et Elisa, Kiproko et 4 Z qui profitent de la beauté du paysage et du merveilleux concert que nous offrent les oiseaux du monde entier qui vont de-ci, de-là, comme ils le souhaitent.
Le titre est extrait des textes de Phoenixs, de Pascal et d’Eclaircie